mardi, février 27, 2007

Brosse à dents ton cul


Et là, vu le titre, tu t'attends à un article béton. Un sorte de chronique de 5686 pages sur un sujet que tu ne connais pas et que t'oublieras avant d'avoir fini de tout réussir à lire. Et bah, nan.

Ce superbe jeu de mot est surtout là pour vous dire à quel point je bosse. Si, si (nan, pas l'opératrice, t'essayes de concourir pour le trophée Laurent Ruquier ou quoi?). Pas de chronique de musique pour une fois, non pas parce que je n'en ai pas l'envie mais surtout pas assez de temps pour écrire un article digne d'un Olivier Cachin (fais pas style t'es déçu, je t'assure que tu gagnes au change...). Loin du pseudo clash l'ourson simplet vs la pute à Diam's, loin aussi d'une autre battle le nain vs la prof, c'est l'instant égotrip à la Valéry François a.k.a. Busta Flex. L'égotrip, c'est comme un moment nutella, mais avec la bouffe en moins.

« J'fais mon job à plein temps » qu'il disait donc. Du coup, j'viens de me rendre compte que j'aurais au moins un point commun avec lui. Dingue non? Mais revenons donc à nos oursons, avec ce fucking stage, je viens de me rendre compte que le travail, en fait, c'est lassant. Eh oui, entre deux cafés/croissants/coupes de champagne/débats sur le match de la veille (raillez les mentions non adéquates), je bosse. Et bien en plus selon mon tuteur. Comme quoi, hein, tout arrive. Du coup, entre le taff et les habituelles sorties (les jeunes et l'alcool...), même pas le temps de passer par ici donc là, vous avez bien remarqué: je meuble.

Et en plus, yaura même pas de cadeau mp3ique à la fin, donc t'as tout lu pour rien. Désolé.